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AMDG - SSO

Le dentiste de garde

Le service de garde pour les urgences est ouvert à tous les patients de 09h00 à 12h00 et de 16h00 à 18h00, 365 jours par an.

L'AMDG et ses prestations

L’AMDG regroupe environ 150 cabinets dentaires dans toute la région genevoise partageant la même déontologie.

Principaux domaines d’activité:

Elle organise ou collabore aux mesures de prévention. Depuis plus de 10 ans les ados genevois bénéficient en fin de scolarité obligatoire d’un bon pour un contrôle dentaire gratuit afin de leur éviter une situation d’urgence prévisible, pénible et coûteuse. Cette mesure incitative n’a pourtant pas toujours l’effet escompté.

La qualité de leurs traitements ayant un rapport direct avec leur formation continue, ses membres s’y astreignent régulièrement. Ils ont contrôlés sur une base minimum de 80 heures par an.

Elle assure un service d’urgence pour les urgences ouvert 365 jours par an.
Elle collabore étroitement à la formation des apprenties assistantes-dentaires assurant ainsi la qualité de leur formation. Celle-ci est répartie sur 3 ans et se termine après un examen final par l’obtention d’un Certificat Fédéral de Capacité (CFC).
Elle continue de se préoccuper de ses diplômées en leur facilitant la recherche d’un emploi.
Elle organise pour ses membres et leurs patients une commission de conciliation destinée à solutionner de façon neutre et professionnelle tout conflit relatif aux honoraires ou à la qualité des soins. Le patient garde toujours la possibilité de recourir au tribunal. Voir commission de conciliation
Sur le plan social la plupart des membres AMDG collaborent avec le Service de Prestations Complémentaires et l’Hospice Général afin de prodiguer à ces patients des soins conformes à leur situation.

Le Comité de l'AMDG

Raphaël Moëne

Président

Stéphanie Duriaux Monnin

Trésorerie | Comission des admissions | Comission de l’enseignement et des cours interentreprises

Martina Frigerio

Commission scientifique et formation continue | Comission des admissions

Didier-David Malis

Relation avec l’AMGe | Commission scientifique et formation continue | Comission des admissions

Marc Grundman

Commission des litiges

Giorgio Pileggi

Commission des litiges

Inès Kreuzer

Commission des urgences

Gregory Antonarakis

Relation avec la CUMD

Erik Perpignani

Commission site Internet

Que veut dire SSO?

La SSO est la Société Suisse des Médecins-dentistes. Elle est l’organisation faîtière des médecins-dentistes exerçant leur activité sur tout le territoire de la Confédération en regroupant la grande majorité des cabinets dentaires privés. Son effectif est de plus de 5’300 membres. Elle veille principalement au respect de l’éthique professionnelle telle que décrite dans ses statuts et son code de déontologie, se positionne en tant que partenaire reconnu auprès des autorités politiques et sanitaires, et assume sa mission corporative à laquelle ses membres participent.

Buts

La SSO a pour buts de promouvoir:

Organisation

La SSO est une association fonctionnant sur un modèle fédéraliste qui regroupe vingt sections cantonales jouissant d’une certaine autonomie respectant leurs particularités régionales.

La conduite de la SSO est assurée par ses propres membres selon un système de milice. Son organe de direction est le Comité Central composé de sept membres s’appuyant sur ses états-majors (secrétariat, service de presse et d’information), ses commissions et les délégués des sections cantonales. Ses différentes tâches sont subdivisées en départements. La SSO recourt à des experts externes lorsque des compétences techniques particulières l’exigent.

Cette structure permet à la SSO d’avoir une politique dynamique et homogène pour la défense des intérêts des patients et de ses membres. Cela lui permet également de pouvoir actualiser constamment les connaissances scientifiques de la profession pour en faire bénéficier ses membres dans leur pratique quotidienne.

En faveur des patients

La SSO s’efforce de promouvoir une médecine dentaire de qualité. Ses campagnes de prévention visent à prévenir les affections bucco-dentaires et profitent ainsi directement à la population.

En faveur des médecins-dentistes

Politique professionnelle

En collaboration avec les universités et les sociétés de disciplines la SSO s’engage pour que de nouveaux concepts thérapeutiques dûment validés puissent être introduits. Elle répond ainsi aux exigences de ses membres dans le domaine de la formation continue.

Politique corporative

La SSO met en place sur le plan suisse une politique professionnelle uniforme et cohérente, tout en se préoccupant des aspects relatifs à la conduite d’un cabinet dentaire.

Formation postgrade

La SSO veille à ce que les médecins-dentistes qui viennent d’obtenir leur diplôme fédéral soient aidés pour l’ouverture de leur cabinet. Elle est également compétente dans l’organisation des cursus menant à l’obtention des quatre titres de spécialistes reconnus au plan fédéral en: orthodontie, parodontologie, chirurgie orale et médecine dentaire reconstructive. Il en va de même pour les quatre certificats SSO de formation postgrade en: médecine dentaire générale, pédodontie, endodontie, médecine dentaire préventive et restaurative.

Code de déontologie

Devoirs envers les patients

La relation de confiance entre le médecin-dentiste et son patient est une condition indispensable du succès thérapeutique. Dans cet esprit, le praticien et son patient sont considérés comme des partenaires ayant les mêmes droits, liés par une relation de mandat fondée sur le respect mutuel et la transparence de l’information.

Dans le cadre des lois en vigueur, les membres de la SSO se soumettent volontairement au code de déontologie et s’engagent à se comporter selon les principes qui y sont formulés.

Le code de déontologie vise à définir la relation du médecin-dentiste avec son environnement, ainsi qu’à garantir la réputation et la liberté de la profession du médecin-dentiste. Les règles du code de déontologie doivent notamment

  • promouvoir la confiance entre médecin-dentiste et patient
  • promouvoir les compétences professionnelles et éthiques du médecin-dentiste
  • favoriser l’esprit collégial entre praticiens
  • promouvoir un comportement professionnel conforme à la déontologie, définir, prévenir et permettre de sanctionner d’éventuelles infractions

Le médecin-dentiste exerce son activité en toute indépendance, ce qui présuppose

  • le libre choix du praticien par le patient
  • la liberté pour le praticien d’accepter ou de refuser un patient, sauf urgence ou indication médicale impérative
  • la liberté pour le praticien, dans le cadre de ses compétences professionnelles, de choisir le plan de traitement et la prescription des médicaments, et la liberté pour le patient informé de décider de l’exécution ou non du traitement choisi
  • la stricte observation du secret médical (secret professionnel et du patient)

Le médecin-dentiste exerce sa profession avec diligence et au plus près de sa conscience. Il répond personnellement de ses actes professionnels.
Le médecin-dentiste qui n’exerce pas en son propre nom (employé ne travaillant pas pour son propre compte) veille à ce que le patient sache clairement à qui il confie son mandat thérapeutique.

Le médecin-dentiste contracte une assurance responsabilité civile professionnelle suffisante.

Le maintien de la santé bucco-dentaire de son patient doit être le but professionnel essentiel du médecin-dentiste. Les diagnostics et les méthodes thérapeutiques seront adaptés aux besoins individuels, aux désirs et aux possibilités de chaque patient. Ils tiendront compte de la situation économique et sociale du patient.

Le médecin-dentiste est conscient des limites de ses compétences et de ses possibilités professionnelles. Il est tenu de maintenir ses connaissances professionnelles et de gestion à jour en suivant régulièrement des cours de formation continue.

Le médecin-dentiste ne doit pas éveiller des espoirs exagérés de succès thérapeutique.

Le médecin-dentiste informe clairement son patient au sujet des constatations, du diagnostic, des mesures thérapeutiques envisagées et de leur coût. Il mentionne en particulier les risques connus et discute les alternatives opportunes de traitement avec son patient.

S’il apparaît que le coût du traitement dépasse l’estimation d’honoraires de plus de 15 %, le patient doit en être informé sans délai.

Le nom du détenteur de l’autorisation d’exercer responsable doit figurer sur la note d’honoraires.

Le patient a droit à une note d’honoraires détaillée. Celle-ci comportera au minimum les positions tarifaires facturées, un bref libellé explicatif, leur nombre, le nombre total de points ainsi que la valeur du point.

En cas de litige, le médecin-dentiste recherchera une solution à l’amiable. Le cas échéant, il adressera son patient à la Commission d’expertise médico-dentaire compétente (appelée à Genève Commission de conciliation). Toutefois lorsque sa créance est justifiée, on ne doit pas hésiter à porter le différend devant les tribunaux.

Les certificats et diagnostics de complaisance sont interdits.